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5 nov. 15

Villa Médicis finance sa nouvelle résidence séniors par l’émission d’un emprunt éthique

La prochaine résidence Villa Médicis, dont l’ouverture est programmée au second trimestre 2017 à Paray-le-Monial sera en partie financée par un emprunt obligataire éthique garanti par sa maison mère SOREFI.
Villa Médicis est réputée pour le soin quasi affectif porté à ses résidences séniors, tant dans la conception que la réalisation et l’exploitation.  Sa prochaine résidence, dont l’ouverture est programmée au second trimestre 2017, sera innovante dans son financement et… de spiritualité catholique, Paray-le-Monial oblige !
 
« Il s’agit d’une initiative qui, à notre connaissance, est unique dans le secteur des résidences pour séniors. Nous voulons faire participer à la réussite du projet les personnes qui recherchent des placements éthiques », explique Hubert Rouy, Président et fondateur de Villa Médicis.
 
Un placement obligataire éthique
 
C’est la SAS Résidence Services Villa Médicis Paray-le-Monial qui émet l’emprunt mais sa maison-mère, le Groupe SOREFI s’est porté caution. Son montant, de 2 millions d’euros, représente environ 8% du montant de l’investissement total. Il est constitué de 140 obligations non convertibles d’une valeur nominale de 15 000 euros chacune. 
 
5% pendant 10 ans. L’emprunt, d’une durée de 10 ans, ne donne lieu à aucun frais de gestion. Il est rémunéré au taux fixe de 5% brut annuel (avant imposition). Les intérêts sont versés tous les ans à la date anniversaire de la souscription.
 
Garanties. La société SOREFI se porte garante et suppléera à toute défaillance éventuelle de l’emprunteur, tant sur le capital que sur les intérêts dus aux souscripteurs. De plus, SOREFI offre à ces derniers la possibilité de bénéficier d’un remboursement anticipé des titres lors des 8e et 9e années, et ce sans frais supplémentaires.
 
Souscripteurs. L’émission obligataire s’adresse plus particulièrement – mais sans exclusive – aux particuliers investisseurs qui souhaitent placer leur argent dans l’économie réelle tout en soutenant une initiative qualifiée d’éthique en raison des caractéristiques de la résidence : qualité de l’attention portée aux personnes ; volonté d’offrir dans la société une place digne aux aînés ; possibilité pour ceux-ci de vivre librement leur pratique spirituelle.
 
Une résidence séniors dans un haut-lieu du catholicisme
 
La Villa Médicis de Paray-le-Monial comprend 101 logements. Elle reprend intégralement le concept mis au point il y a 25 ans par son président-fondateur sur des valeurs essentielles de qualité de vie, de sécurité, d’autonomie et de liberté. Salons, bibliothèque, infirmerie, espace bien-être-santé complètent les équipements pour un agrément de vie paisible.
 
Un soin particulier a été apporté au choix des matériaux et aux finitions des logements : porte d’entrée moulurée et habillée en bois, corniches dans l’entrée, parquets de chêne, poignées en laiton, tapis de circulation, marbre, volets roulants, wifi, etc. 
 
Une résidence services Villa Médicis se doit d’offrir des logements et des espaces communs confortables et chaleureux où les résidents sont entourés, servis et choyés. Signe distinctif des Villas Médicis, la restauration et la salle à manger font l’objet d’un soin et d’un raffinement tout particulier. 
 
Haut-lieu spirituel de Bourgogne. Paray-le-Monial fut bâtie autour d’un premier monastère devenu, au XIe siècle, prieuré clunisien. D’où son nom « le Monial » : « cité des moines ». La ville offre sans doute l'un des plus riches et des plus beaux patrimoines de toute la Bourgogne, dont la Basilique du Sacré Cœur, chef-d’œuvre de l’art roman bourguignon du XIIe siècle. 
 
Paray-le-Monial reçoit près de 300 000 pèlerins par an et les nombreuses chapelles témoignent de cette ferveur religieuse. Pouvait-il y avoir meilleur emplacement pour l’édification d’une résidence séniors de spiritualité catholique ? 
 
« Les résidents qui le souhaitent pourront y vivre leur foi librement et simplement grâce, en particulier, à l'existence d'une chapelle dans la résidence et à la présence d’un prêtre à demeure », précise Hubert Rouy.