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18 sep. 15

Décision de la FED : Pas de réaction en chaine à redouter.

La FED n’augmentera pas ses taux d’intérêt. Les facteurs économiques d’une hausse ne sont pas tous au rendez-vous. Il en manque un, de taille : l’inflation.

« La FED n’augmentera pas ses taux d’intérêt. Les facteurs économiques d’une hausse ne sont pas tous au rendez-vous.

Il en manque un, de taille : l’inflation. Quand bien même une reprise est constatée aux USA, celle-ci est encore fragile

et pourrait être contrariée par le ralentissement de la croissance des pays émergents, principalement la Chine.

 

Une petite hausse symbolique aurait été un acte hautement politique, sans doute, mais n’aurait pas eu beaucoup d’effet

sur les marchés financiers, qui ont déjà anticipé cette possibilité. En revanche, elle aurait profité aux banques qui doivent,

par ailleurs, faire face à la diminution du « QE » (quantitative easing, ou rachat de créances obligataires) engagée

par Janet Yellen, Présidente de la FED.

 

De son côté, la Banque Centrale Européenne (BCE) ne devrait pas agir immédiatement sur ses propres taux,

pour ne pas prendre le risque de tuer l’embryon de reprise économique qui se dessine

en Europe ni de modifier le rapport Dollar/Euro qui nous est favorable.

 

A moins d’une énorme surprise, nous n’aurons pas d’impact sur les taux d’intérêts français proposés aux particuliers.

Ces taux devraient rester à leur niveau historiquement bas au moins jusqu’à la fin de l’année 2015. »

 

Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint de CAFPI

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« La FED n’augmentera pas ses taux d’intérêt. Les facteurs économiques d’une hausse ne sont pas tous au rendez-vous.

Il en manque un, de taille : l’inflation. Quand bien même une reprise est constatée aux USA, celle-ci est encore fragile

et pourrait être contrariée par le ralentissement de la croissance des pays émergents, principalement la Chine.

 

Une petite hausse symbolique aurait été un acte hautement politique, sans doute, mais n’aurait pas eu beaucoup d’effet

sur les marchés financiers, qui ont déjà anticipé cette possibilité. En revanche, elle aurait profité aux banques qui doivent,

par ailleurs, faire face à la diminution du « QE » (quantitative easing, ou rachat de créances obligataires) engagée

par Janet Yellen, Présidente de la FED.

 

De son côté, la Banque Centrale Européenne (BCE) ne devrait pas agir immédiatement sur ses propres taux,

pour ne pas prendre le risque de tuer l’embryon de reprise économique qui se dessine

en Europe ni de modifier le rapport Dollar/Euro qui nous est favorable.

 

A moins d’une énorme surprise, nous n’aurons pas d’impact sur les taux d’intérêts français proposés aux particuliers.

Ces taux devraient rester à leur niveau historiquement bas au moins jusqu’à la fin de l’année 2015. »

 

Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint de CAFPI