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2 déc. 15
OGIC confirme son ancrage à Marseille
Implanté à Marseille depuis 10 années, OGIC s’est recentrée en 2015 sur les beaux arrondissements marseillais et propose deux nouvelles résidences dans le 8e arrondissement
Implanté à Marseille depuis 10 années, OGIC, spécialiste des programmes immobiliers de standing, a démontré son savoir-faire avec des réalisations d’exception telles que les résidences « Prado Rivage », « Harmonie » ou encore « Carré Michelet ». En 2015, l’entreprise s’est recentrée sur les beaux arrondissements marseillais et propose deux nouvelles résidences dans le 8e arrondissement
94 appartements à proximité du parc Borély
Résidence « 29 Joseph Vernet ». Située à quelques pas de la mer, face au parc Borély et son château, son jardin à la française, son jardin botanique et son lac, la résidence du « 29 Joseph Vernet », conçue par l’architecte Pierre Boyer, jouit d’un emplacement exceptionnel, au calme.
Accessibles par une allée bordée d’arbres, les 36 logements, du studio au 5 pièces, bénéficient de larges terrasses offrant une vue dégagée sur les jardins. Au dernier étage, sous les toits, se trouvent deux duplex pourvus de verrières dans leurs pièces à vivre.
Résidence « Azuréo ». Toujours dans le 8e arrondissement de Marseille et non loin du parc Borelly, dans le quartier de la Vieille Chapelle, quartier qui doit son nom à une chapelle disparue lors de la Révolution, OGIC propose la résidence « Azuréo », conçue par les architectes Daniel Deluy et Muriel Cheron.
Situés à quelques pas de la Pointe Rouge, les 58 appartements, du studio au 5 pièces duplex, sont prolongés pour la plupart par des loggias ou des terrasses, dont certaines sont plein ciel et dotées de pergolas. Au dernier étage, les appartements s’ouvrent sur de larges terrasses offrant une vue panoramique sur la ville, la colline et la mer.
Prix et livraisons. Les appartements de la résidence « 29 Joseph Vernet » sont proposés à partir de 190 000€ pour un T1 et de 488 000 € pour un T4. Au dernier étage, un duplex d’exception avec double hauteur sous plafond dans le séjour, triple exposition et terrasse de 160m² est, lui, proposé à 1 060 000 €. La livraison est prévue au 4e trimestre 2017.
De son côté, la résidence « Azureo » propose des T2 à partir de 166 500 €, des T3 à partir de 219 500 €, des T4 à partir de 336 500 € et le T5, au dernier étage avec vue panoramique sur Marseille et la mer et une terrasse de 121m² à 740 500 €. Réalisée en 2 tranches, elle sera livrée au 4e trimestre 2017, pour sa première partie, et au 2e trimestre 2018 pour la suivante.
Marseille, vitrine d’OGIC sur la Côte méditerranéenne
En 2015, OGIC Méditerranée a produit environ 300 logements (soit bien au-delà des 215 prévus) pour un volume de ventes de 58 millions d’euros. Pour poursuivre sur cette lancée, OGIC envisage le recrutement de nouveaux développeurs et commercialisateurs. Il a également l’ambition de rester très présent sur l’autre marché porteur des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence.
Cap sur les investisseurs. En 2015, la majorité de la production d’OGIC a été acquise au titre de la résidence principale. Les investisseurs représentent localement 25% de la clientèle, contre 45% pour l’ensemble du groupe. L’intérêt des accédants pour les réalisations d’OGIC ne fait donc pas de doute.
Ces 2 nouveaux programmes disposent également de nombreux atouts pour les investisseurs. Ils sont dans leur quasi-totalité situés en zone A du dispositif Pinel. De plus, la Côte est très recherchée par les investisseurs souhaitant préparer leur future retraite au soleil. OGIC renforce donc également ses équipes pour faire monter en puissance cette clientèle.
Les recours, toujours… Marseille est connu pour être la ville où les programmes immobiliers subissent le plus de recours. Ceux d’OGIC ne font pas exception. L’intégralité des projets lancés dans la cité phocéenne ont été attaqués, avec un pic de 35 recours sur un seul et même programme. Malgré cela, les programmes ont tous été réalisés.
« La récente loi Macron protège les bâtiments créés contre le risque de destruction suite à un recours. On aurait pu croire que cette disposition, allait atténuer le phénomène et dissuader les recours. Ce n’est malheureusement pas le cas pour l’instant », indique Mireille Vernerey, Directeur Général Provinces chez OGIC.
La majorité des recours sont le fait de voisins du programme qui souhaitent des aménagements pour éviter des vis-à-vis, des vues directes, une occultation de la lumière du soleil… Dans ces cas, OGIC travaille avec les riverains pour trouver des solutions.
« Quand le recours est à but financier, c’est plus compliqué, précise Mireille Vernerey. Il ne faut surtout pas céder, sinon c’est sans fin. Il faudrait véritablement accélérer les jugements, car dans pratiquement tous les cas, nous gagnons. »