20 jan. 14

Congrès Inaugural des Professionnels du Patrimoine : « De la prise de conscience au retour à la confiance »

Le jeudi 16 janvier 2014, CERENICIMO a tenu son Congrès Inaugural aux Salons Hoche, à Paris 8e. Ce Congrès a pour vocation de permettre les Professionnels du Patrimoine partenaires de CERENICIMO de préparer l’année 2014 en les aidant à mieux comprendre une conjoncture macroéconomique, juridique et fiscale particulièrement complexe, et ainsi mieux saisir les attentes des investisseurs. Plus de 550 professionnels ont répondu à l’invitation et ont assisté aux interventions des invités : Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, Vice-président du Sénat ; Laurence Parisot, ancienne Présidente du MEDEF, Vice-présidente de l’IFOP PME ; Jean-Louis Le Boulc’h, avocat fiscaliste ; Frédéric Dabi, Directeur Général Adjoint de l’IFOP. Benjamin Nicaise a clôturé ce Congrès en présentant les résultats de 2013 de Cerenicimoet les raisons de son succès.

Le jeudi 16 janvier 2014, CERENICIMO a tenu son Congrès Inaugural aux Salons Hoche, à Paris 8e. Ce Congrès a pour vocation de permettre les Professionnels du Patrimoine partenaires de CERENICIMO de préparer l’année 2014 en les aidant à mieux comprendre une conjoncture macroéconomique, juridique et fiscale particulièrement complexe, et ainsi mieux saisir les attentes des investisseurs.

 

Plus de 550 professionnels ont répondu à l’invitation et ont assisté aux interventions des invités : Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, Vice-président du Sénat ; Laurence Parisot, ancienne Présidente du MEDEF, Vice-présidente de l’IFOP PME ; Jean-Louis Le Boulc’h, avocat fiscaliste ; Frédéric Dabi, Directeur Général Adjoint de l’IFOP. Benjamin Nicaise a clôturé ce Congrès en présentant les résultats de 2013 de Cerenicimoet les raisons de son succès.

 

Une analyse sans complaisance de la conjoncture

 

Le constat est sans appel : notre pays voit son économie grippée et peine à trouver les solutions pour sortir de l’impasse. Pourquoi ? Les causes sont politiques et sociétales :

 

>Jean-Pierre Raffarin analyse le contexte actuel en présentant les forces et faiblesses de l’économie française puis formule des pistes de recommandation pour répondre à la question que tout le monde se pose « Comment débloquer la France ? »

 Pour l’ancien Premier ministre, la solution n’est pas simplement économique, elle est avant tout sociologique et politique. Il a notamment insisté sur les limites des institutions actuelles et la nécessité de mener des réformes rapides et structurelles.

 

>Pour Laurence Parisot, le mal qui ronge actuellement la France est sa défiance à l’égard du monde politique, son doute sur la capacité des élus et de la haute fonction publique à transformer le pays. Pour relancer l’économie et retrouver le chemin de la croissance, il faut donc d’abord réconcilier le monde politique et le monde économique, et surtout relancer le leadership de la France au niveau européen.

 

Une prise de conscience des investisseurs

 

Et l’investisseur, comment réagit-il ? C’est l’objet de l’étude réalisée dans le cadre du baromètre de l’épargne IFOP CERENICIMO 2014. Présentée par Frédéric Dabi, elle décrypte le comportement de l’investisseur face au contexte économique et aux différents supports d’investissement. Il y apparait clairement que les Français sont focalisés sur la sécurité de leurs investissements, tant au regard du patrimoine constitué que du rendement obtenu. Ce baromètre analyse également la perception de l’investisseur vis-à-vis des différents Professionnels du Patrimoine et plus particulièrement du conseiller en gestion de patrimoine : plus que jamais, l’investisseur a besoin d’être accompagné.

 

Et d’être bien informé ! Dans son intervention, Jean-Louis LE BOULC’H attire l’attention sur les conséquences qu’aura la Loi ALUR (Accès au Logement et Urbanisme Rénové) : c’est une petite révolution dans les relations propriétaires / locataires dont les bailleurs doivent d’ores et déjà tenir compte. L’avocat fiscaliste souligne toutefois deux bonnes nouvelles : le retour à un impôt sur les plus-values immobilières moins lourd et la préservation des principes juridiques essentiels de la location meublée.


          

La solution adoptée par CERENICIMO : s’adapter pour gagner

 

Petit retour en arrière. Il y a un an, lors du précédent Congrès inaugural, CERENICIMO avait annoncé sa volonté de faire de 2013 « une année de croissance ». A la grande surprise de l’intervenant politique, Michel Rocard. Dans son intervention, l’ancien Premier ministre avait trouvé que l’engagement ne manquait pas de culot et qu’il était quasi impossible à tenir : « Je ne crois pas à la moindre croissance en 2013, hélas. »

 

Pour la France,  Michel Rocard ne s’est pas trompé. Pour CERENICIMO, en revanche, l’engagement a été tenu et 2013 a été une année de croissance : + 20 % de réservations par rapport à 2012 ; un volume d’activité de 640 millions d’euros ; 400 nouveaux mandataires !

 

Comment CERENICIMO a-t-il réussi, dans le contexte économique orageux que chacun connait ? Benjamin Nicaise, Président de CERENICIMO, y voit trois raisons principales : la stratégie et l’anticipation ; l’innovation et l’offre de services, et surtout l’adhésion de ses partenaires à son modèle qui a désormais fait ses preuves

 

La stratégie.« CERENICIMO a toujours anticipé les évolutions. Ainsi, dès le début 2011, l’entreprise avait changé de cible : elle tournait progressivement la page de la défiscalisation pour passer à un marché de revenus non fiscalisés ».

 

L’innovation et l’offre de services.« Nous avons multiplié les initiatives et les nouveautés pour améliorer en permanence notre offre : le  scoring, un guide de l'investisseur, l’Engagement liquidité (il est rassurant pour l'investisseur de savoir qu’il pourra revendre dans de bonnes conditions), les réunions investisseurs, une offre Premium (pour clients à haut potentiel d'investissement) ; CerenicimoAsset ; formations ; etc. »

 

La confiance dans le modèle. L'actif immobilier a continué à jouer son rôle d’investissement sécurisant, associé à un cadre fiscal stable, celui de la location meublée. « Tout le monde a cru en notre modèle. En interne, les équipes, dont la plupart des profils n’étaient pas issus de l’immobilier, font constamment preuve de la motivation et de l’implication nécessaire. Mais c’est surtout l’adhésion des Professionnels du Patrimoine qui nous a permis de faire de 2013 une année de croissance dans un contexte pourtant complexe. Comme le dit Attali, Le pire n’est jamais sûr mais le meilleur se mérite »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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