Face aux 120 000 logements vacants estimés dans la capitale, Emmanuel Grégoire propose une approche en trois temps : mieux mesurer et rendre public l’état de la vacance, renforcer les réquisitions, et instaurer une taxe sur les logements inoccupés depuis plus de trois ans.   

Autre mesure phare : la mise en place d’un « bail citoyen », dans lequel la Ville se porterait garante pour les locataires, afin de rassurer les propriétaires et mobiliser le parc vacant.  

Sur le long terme, Grégoire ambitionne de porter la part de logements publics à 60 % d’ici 2035, contre 40 % actuellement prévus. Il compte pour cela sur la Foncière du logement abordable, qui permet à la Ville d’acheter des immeubles et de les louer à des prix réduits. 

Enfin, pour répondre au défi écologique, il propose la création d’un syndicat municipal de la rénovation thermique, destiné à accompagner les copropriétés dans la réhabilitation énergétique, financé par une levée de fonds à grande échelle. 

Par ce programme ambitieux, Emmanuel Grégoire entend faire du logement un droit concret pour tous les Parisiens. 

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