Grâce à ses capteurs et analyses comportementales déployés sur 250 000 m² de bureaux (et bientôt 400 000 m²), Z#BRE observe que seuls 37 % des postes de travail sont utilisés quotidiennement. Dans certains grands groupes, jusqu’à 60 % des postes sont totalement inactifs. Une situation lourde de conséquences : loyer, entretien, énergie et sécurité continuent d’être payés pour des espaces fantômes, alors qu’un poste de travail coûte en moyenne 11 000 € par an.

 

Cette vacance d’usage transforme silencieusement le marché. Le problème n’est plus seulement celui des immeubles vides, mais celui des immeubles qui ne vivent plus : salles de réunion désertées, bureaux privatifs abandonnés, espaces collaboratifs sous-utilisés.

 

Cette approche donne naissance à un nouvel indicateur devenu central pour investisseurs et asset managers : l’intensité d’usage. Deux immeubles identiques n’ont plus la même valeur si l’un est réellement utilisé et l’autre largement inactif. En s’appuyant sur ces données, les entreprises accompagnées par Z#BRE parviennent à réduire de 30 % leurs surfaces sans travaux lourds, avec à la clé 25 % d’économies d’exploitation et une empreinte carbone divisée par deux.

 

À l’approche du SIMI 2025, une idée s’impose : le bureau n’est plus seulement une surface à louer, c’est un outil à piloter. En révélant la réalité des usages, Z#BRE fournit la métrique qui manquait pour repenser les espaces, maîtriser les coûts et redonner au bureau sa fonction essentielle : être un lieu vivant, utile et adapté au travail d’aujourd’hui.